Hello ! Aujourd’hui, on rentre dans la tête de la blogueuse SawSun. Eh oui, en ce mardi 23 juillet, c’est un article témoignage que je te propose.
Sans plus tarder, viens découvrir ce qui se passe dans la tête bien remplie d’une jeune femme de 26 : où en est-elle de ses aspirations et de ses rêves ?
26 ans, le rêve d’enfance est loin mais tout va bien
L’année dernière j’avais parlé des 25 ans, et plus précisément de la crise des 25 ans et de toutes les questions existentielles qu’on se pose à cet âge. Un an plus tard, les choses ont pas mal évoluées. Mine de rien, plus on prend de l’âge plus la différence entre les années est grande, en tout cas pour les vingtaines. Chaque année j’ai l’impression de faire un grand gap, et c’était comme s’il manquait une étape entre le 25 ans et le 26 ans.
Les responsabilités, les factures à payer en fin de mois, les comptes à rendre au boss, tout ça fait partie de votre routine dès à présent et ne vous fait plus peur. Est-ce bon ou mauvais signe ?
Acceptation: My mama told me when I was young , We are all born superstars
L’avantage quand on a 26 ans est que les agitations intérieures ont tendance à se calmer. On s’habitue à notre nouveau mode de vie et à faire tout par nous-même. On se fait à l’idée qu’on ne sera plus aussi populaire que les années du lycée, qu’on ne fera plus la fête du jeudi au dimanche et du lundi au mercredi. On accepte de couper le cordon avec les parents et certains amis. On laisse les choses se faire naturellement, on ne résiste plus aux changements de la vie. On sait que des gens partiront et d’autres qui rentreront dans nos vies. Un très bon ami à moi m’a dit, pour mes 26ans, il y a eu plus de personnes qui m’ont souhaité un joyeux anniversaire sur LinkedIn que sur Facebook. C’est marrant comment les tendances changent.
à 26 ans on lâche prise, on ne se prend plus trop la tête à se poser des questions inutiles sur le qui suis-je ? Pourquoi moi ? Pourquoi ai je moins d’amis ? Pourquoi dois je payer toutes ces factures ? D’autant plus qu’on a plus le temps de se les poser ces questions , le Métro, boulot, dodo prend clairement le dessus.
Bref à 26 ans, on accepte notre nouvelle vie et tous les changements qui viennent avec. On est dans l’acceptation de soi, on ne se juge plus en permanence. On laisse les choses prendre leur chemin naturel et spontané car on sait, lady gaga nous l’a dit, qu’on est beautiful in our way ‘Cause God makes no mistakes et qu’on est on the right track.
L’angoisse de la trentaine : on a envie de dire au temps Despacito
Si à 26 ans les traces de vos inquiétudes d’adolescence sont bien effacées, l’angoisse de la trentaine, elle, commence à gagner du terrain petit à petit. Il est clair qu’à 26 ans on est plus proche de 30 ans que de 20 ans et ça, ça peut faire flipper.
Jeune adulte, on a envie de faire les choses bien, on prend pleinement conscience que l’on est en train de vivre des années décisives de notre vie. On sait qu’on a encore beaucoup de chose à construire et des fois ça peut paraitre effrayant.
Quand on était enfant, on voyait la trentaine tellement loin. Et aujourd’hui elle n’a jamais était aussi proche. Et là on commence à dire cette fameuse phrase d’adulte, qui n’a jamais eu de sens pour nous jusqu’à ce jour « Le temps passe tellement vite ».
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Alive and breathing
À 26 ans, disons le, on est au top de sa forme. Et oui, comme les années de la misère sont bien derrière et ce que j’appelle les années de la misère ce sont tout simplement les années d’enfance et d’adolescence, les interminables années d’études, les jobs étudiants, les mémoires à rendre, les collocations à 10… Aujourd’hui on mène une vie plus confortable et on commence à en prendre conscience. Certes ce n’est pas encore la vie de nos rêves mais on a un logement meilleur, on se permet quelques petits week-end dans l’année, un ou deux longs voyages, on ne cherche plus les horaires du noctilien pour rentrer d’une soirée et on ne refuse plus trop les restau avec les amis. On se rend compte qu’on est un jeune adulte, autonome qui gère sa vie à sa guise et rien que cette idée nous donne un sentiment de force et de puissance indescriptible.
Le rêve est loin but you were born to shine
Oui, votre rêve d’enfance est déjà loin ou du moins il a changé, il a évolué, il s’est enrichi de vos expériences et des leçons que vous avez apprise. Mais votre rêve d’adulte, lui il est à peine entrain de se construire. À 26 ans vous vous rendez compte que vous avez besoin de ce rêve, de vous fixer un nouvel objectif, car vous avez atteint celui que vous avez fixé vos parents et la société: finir vos études et décrocher un boulot. Maintenant que c’est fait, à vous de jouer, à vous de fixer votre propre objectif, selon vos envies les plus profondes. Vous rêvez d’une vie meilleure, vous rêvez de parcourir le monde, vous rêvez de lancer votre propre business, vous rêvez d’avoir une grande maison avec un jardin, vous rêvez que votre talent soit connu et reconnu, vous rêvez de trouver votre âme sœur et de vivre une histoire digne d’un film hollywoodien… votre vraie vie ne vient que de commencer et vous vous rendez compte que contrairement à ce qu’on vous a dit depuis tout petit, il ne suffit pas de réussir ses études pour avoir la vie de vos rêves. Il s’agit là du plus gros mensonge de tous les temps. Vous vous rendez compte en lisant Olivier Roland, qu’au final il avait tellement raison de dire “Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études”
Alors vous vous remettez à bosser, jour et nuit pour atteindre vos buts. Cette fois ci vous bosser différemment, vous bosser avec amour. Pas pour faire plaisir aux parents ou aux profs mais pour vivre vote rêve, votre rêve d’adulte,le vrai, the one and only.
Et voilà ! Comme d’habitude, j’espère que ça t’a plu, et n’hésites pas à me dire en commentaire ce que tu en as pensé !
Tu peux retrouver Sawsun sur son blog juste ici.